Lettre du 15 mai 1994 : « Nous mettons toute notre confiance en Celui qui tient entre Ses mains la destinée de tous les hommes. »

 

 

Lettre du 19 juin 1994 : « Notre-Dame d’Afrique reste à la merci d’un acte insensé. Dans le diocèse, nous pensons tous que le maintien de la présence de l’Eglise est important, autant pour l ‘Eglise elle-même que pour le pays. Le monde actuel, en général, et les cultures religieuses en particulier, ne peuvent échapper à la nécessité du dialogue pour assurer la « convivance » harmonieuse qu’exige l’honneur du Dieu que nous désirons servir les uns et les autres. »