Saliha le 29 décembre 1994 : « Je perds, en le père Deckers, un papa, un ami, un confident ; actuellement, je suis comme un oiseau sans aile.

… Je suis sage-femme depuis 1974 grâce au père Deckers, qui fut mon intercesseur auprès de mes parents, de mentalité sévère comme tous les Kabyles ; Ils ne voulaient pas à l’époque voir leur fille quitter Tizi-Ouzou pour faire des études à Alger et y être interne loin de chez eux. Alors il fut mon tuteur légal pendant les trois années d’études jusqu’à l’obtention du diplôme. »