Zakia s’adressant à lui par lettre le 13 décembre 1997 : « … qui nous manquez atrocement : monument de bonté, vous ne vous êtes jamais dépourvu de votre affection légendaire qui nous a tellement aidés et touchés au plus profond de notre cœur. Vous resterez à vie dans notre mémoire. Que Dieu puisse vous accueillir dans son vaste paradis ! »